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Vente de pellicules
Nous sommes fiers d'être un partenaire de Kodak, le leader mondial de la photographie.
Nous mettons à la disposition de nos clients tout le catalogue Kodak, qui comprend une variété de produits de qualité, tels que des films, des amorces, des accessoires, des consommables, et plus encore.
En achetant chez nous, nos clients bénéficient de l'expertise et du savoir-faire de Kodak, ainsi que de nos services personnalisés et de nos prix compétitifs.
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Laissez-nous vous parler de l'incroyable pouvoir des pellicules pour la projection au cinéma ou chez vous, et pourquoi il est si crucial d'en prendre conscience !
Imaginez un instant : la pellicule, un support flexible aux caractéristiques fascinantes. Sa largeur évolue avec les avancées technologiques, s'adaptant aux différents usages et équipements de projection. Des diamètres réduits pour les pellicules destinées aux particuliers, et des dimensions plus imposantes pour les professionnels.
Ce support souple est recouvert de plusieurs couches de produits chimiques sensibles à la lumière. Lorsque ces couches réagissent à la lumière dans une caméra argentique, des images invisibles prennent forme sur le film photographique. Après le processus de développement, ces images se révèlent, dévoilant des souvenirs précieux.
Permettez-nous de vous présenter les différents formats de pellicules :
- Le format 9,5 mm : Une invention française qui a ouvert les portes du cinéma amateur en 1922. Les films muets ont rapidement laissé place au son dans les années 1930. Vous pouvez reconnaître le format 9,5 mm grâce à ses perforations situées au milieu, entre les images. Les premières projections se faisaient avec des projecteurs à manivelle "Pathé Baby", mais par la suite, des projecteurs plus sophistiqués ont vu le jour avec des moteurs électriques. Aujourd'hui, vous pouvez encore trouver de la pellicule 9,5 mm chez Color Films Archives en France, et des festivals dédiés à ce format se tiennent régulièrement dans plusieurs pays.
- Le format 8 mm et Super 8 : Le 8 mm est un format de film cinéma amateur lancé en 1932 par Kodak. À l'origine, le film était chargé sous la forme "Double 8", un film de 16 mm de large avec deux rangées de perforations. Après l'exposition de la première moitié du film, la bobine était retournée pour poursuivre l'enregistrement. Cependant, cette manipulation dans l'obscurité rendait les prises de vue compliquées. Le Super 8, quant à lui, est apparu en 1965 grâce à Kodak. Il s'agit d'un format de film cinématographique vendu dans des cassettes, permettant aux cinéastes amateurs de charger leur caméra à la lumière. Le Super 8 offre une qualité d'image supérieure, une meilleure maniabilité et un coût abordable. Ce format est toujours utilisé par les cinéastes amateurs, expérimentaux et même comme pellicule intermédiaire par certains réalisateurs. On peut également trouver de nombreux films grand public dans ce format, sous différentes formes, allant des bobines complètes aux extraits ou versions abrégées. Le Super 8 possède des perforations sur un seul côté, avec une perforation par image. Selon le fabricant, il peut comporter une ou deux pistes sonores, permettant une expérience stéréo ou des commentaires audio dans une autre langue.
Le format 16 mm, lancé en 1923 par la Eastman Kodak Company de New York, est une révolution dans le monde cinématographique. Conçu comme une alternative économique, légère et pratique au format standard de 35 mm, il a rapidement conquis le cinéma amateur et le reportage. Même les fameux scopitones ont adopté le 16 mm.
Au fil du temps, le 16 mm s'est imposé comme un format professionnel incontournable pour le reportage et les fictions télévisées, jusqu'à être complètement remplacé par les formats numériques dans les années 2000.
Mais tenez-vous bien, en 2019, Kodak a sorti une nouvelle pellicule en 16 mm, l'Ektachrome, preuve que ce format compte encore des fervents adeptes.
Le film 16 mm présente une perforation par image, située entre chaque photogramme. À l'origine, il y avait des perforations de chaque côté, mais avec l'avènement du cinéma sonore, il a fallu réserver de l'espace pour une piste sonore (magnétique ou optique), et le film à une seule rangée de perforations est devenu la norme. La taille de la fenêtre de prise de vues et celle de l'image projetée diffèrent légèrement, comme toujours. Le rapport d'image standard est de 1,375:1 selon les standards académiques. La taille de l'image capturée lors de la prise de vues est de 10,22 × 7,42 mm. La cadence de projection standard est de 24 images par seconde.
Quant au Super 16, il s'agit d'une invention de Rune Ericson en 1969. Avant l'avènement généralisé des caméras numériques, le format Super 16 était largement utilisé. Il offre un rapport d'image de 1,66:1, ce qui convient parfaitement au transfert sur pellicule 35 mm et à la diffusion vidéo au format 16:9 (1,78:1). Lors de la prise de vues, la fenêtre de cadrage du film peut être choisie en 1,66:1, 1,85:1 ou même 2,40:1. L'image imprimée a une dimension de 12,39 × 7,49 mm. L'image réellement exploitée dépend du ratio de cadrage :
- Ratio 1,66:1 : image de 12,39 × 7,49 mm ;
- Ratio 1,85:1 : image de 12,39 × 6,69 mm ;
- Ratio 2,40:1 : image de 12,39 × 5,16 mm.
Le format 16 mm a marqué l'histoire du cinéma et continue de fasciner les passionnés, offrant une alternative unique aux formats numériques plus récents.
Le format 35 mm, le roi incontesté de la pellicule argentique utilisée dans le cinéma. Considéré comme le "format standard", il mesure 35 mm de large et est doté de perforations rectangulaires sur ses bords pour garantir un entraînement précis. À l'origine développé pour le cinéma, ce format de pellicule a ensuite été adopté par la photographie argentique, où il est connu sous le nom de "petit format".
En France, le dépôt légal des films se fait en argentique, car cette méthode est réputée plus durable et résistante que les supports numériques, ce qui en fait une option privilégiée pour l'archivage et la conservation des films.
Le format 35 mm présente des perforations de chaque côté et plusieurs perforations par image, ce qui permet d'obtenir une stabilité d'image optimale.
Les films en 35 mm sont envoyés par les distributeurs aux différents cinémas de leur réseau. Ils sont expédiés en bobines de 600 mètres (soit environ 20 minutes) qui sont ensuite assemblées et placées sur de grandes bobines pouvant contenir jusqu'à 4 kilomètres de pellicule. En termes de poids, ces films peuvent dépasser les 25 kilogrammes.
Il est important de souligner que les films sont prêtés aux cinémas pour une durée ou un nombre de projections déterminés. Une fois cette période écoulée, les films doivent normalement être renvoyés au distributeur. Donc, si vous vous retrouvez en possession d'un film en 35 mm, sachez qu'il a été détourné de son cycle de vie. Il a peut-être été récupéré par un membre du cinéma qui ne l'a pas renvoyé au distributeur, ou par un employé de la société de distribution qui l'a conservé au lieu de le détruire, ce qui était pourtant l'issue habituelle pour les films en 35 mm.
Passons maintenant au format 70 mm, souvent utilisé comme alternative au cinémascope.
Le format 70 mm, tout comme le 35 mm, possède des perforations des deux côtés et plusieurs perforations par image. Cependant, le 70 mm présente 5 perforations par image, tandis que le 35 mm en compte 4.
Le format 70 mm est une pellicule argentique mesurant 70 mm de largeur en projection et 65 mm en prise de vue. Après quelques essais avortés dans les années 1930, il s'est popularisé au cinéma à partir des années 1950. Il s'agit du format offrant la meilleure qualité d'image. Cependant, il est aussi très coûteux et se retrouve principalement entre les mains des professionnels. Seule une poignée de collectionneurs sont équipés pour visionner ce type de film.
Voilà donc différents formats de films photographiques. Et s'il y a une chose que vous devez absolument retenir, c'est que le numérique ne parvient pas encore à offrir une définition d'image comparable au film photographique standard (35 mm), sans parler du format 70 mm.
Nous sommes fiers d'être un partenaire de Kodak, le leader mondial de la photographie.
Nous mettons à la disposition de nos clients tout le catalogue Kodak, qui comprend une variété de produits de qualité, tels que des films, des amorces, des accessoires, des consommables, et plus encore.
En achetant chez nous, nos clients bénéficient de l'expertise et du savoir-faire de Kodak, ainsi que de nos services personnalisés et de nos prix compétitifs.
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Laissez-nous vous parler de l'incroyable pouvoir des pellicules pour la projection au cinéma ou chez vous, et pourquoi il est si crucial d'en prendre conscience !
Imaginez un instant : la pellicule, un support flexible aux caractéristiques fascinantes. Sa largeur évolue avec les avancées technologiques, s'adaptant aux différents usages et équipements de projection. Des diamètres réduits pour les pellicules destinées aux particuliers, et des dimensions plus imposantes pour les professionnels.
Ce support souple est recouvert de plusieurs couches de produits chimiques sensibles à la lumière. Lorsque ces couches réagissent à la lumière dans une caméra argentique, des images invisibles prennent forme sur le film photographique. Après le processus de développement, ces images se révèlent, dévoilant des souvenirs précieux.
Permettez-nous de vous présenter les différents formats de pellicules :
- Le format 9,5 mm : Une invention française qui a ouvert les portes du cinéma amateur en 1922. Les films muets ont rapidement laissé place au son dans les années 1930. Vous pouvez reconnaître le format 9,5 mm grâce à ses perforations situées au milieu, entre les images. Les premières projections se faisaient avec des projecteurs à manivelle "Pathé Baby", mais par la suite, des projecteurs plus sophistiqués ont vu le jour avec des moteurs électriques. Aujourd'hui, vous pouvez encore trouver de la pellicule 9,5 mm chez Color Films Archives en France, et des festivals dédiés à ce format se tiennent régulièrement dans plusieurs pays.
- Le format 8 mm et Super 8 : Le 8 mm est un format de film cinéma amateur lancé en 1932 par Kodak. À l'origine, le film était chargé sous la forme "Double 8", un film de 16 mm de large avec deux rangées de perforations. Après l'exposition de la première moitié du film, la bobine était retournée pour poursuivre l'enregistrement. Cependant, cette manipulation dans l'obscurité rendait les prises de vue compliquées. Le Super 8, quant à lui, est apparu en 1965 grâce à Kodak. Il s'agit d'un format de film cinématographique vendu dans des cassettes, permettant aux cinéastes amateurs de charger leur caméra à la lumière. Le Super 8 offre une qualité d'image supérieure, une meilleure maniabilité et un coût abordable. Ce format est toujours utilisé par les cinéastes amateurs, expérimentaux et même comme pellicule intermédiaire par certains réalisateurs. On peut également trouver de nombreux films grand public dans ce format, sous différentes formes, allant des bobines complètes aux extraits ou versions abrégées. Le Super 8 possède des perforations sur un seul côté, avec une perforation par image. Selon le fabricant, il peut comporter une ou deux pistes sonores, permettant une expérience stéréo ou des commentaires audio dans une autre langue.
Le format 16 mm, lancé en 1923 par la Eastman Kodak Company de New York, est une révolution dans le monde cinématographique. Conçu comme une alternative économique, légère et pratique au format standard de 35 mm, il a rapidement conquis le cinéma amateur et le reportage. Même les fameux scopitones ont adopté le 16 mm.
Au fil du temps, le 16 mm s'est imposé comme un format professionnel incontournable pour le reportage et les fictions télévisées, jusqu'à être complètement remplacé par les formats numériques dans les années 2000.
Mais tenez-vous bien, en 2019, Kodak a sorti une nouvelle pellicule en 16 mm, l'Ektachrome, preuve que ce format compte encore des fervents adeptes.
Le film 16 mm présente une perforation par image, située entre chaque photogramme. À l'origine, il y avait des perforations de chaque côté, mais avec l'avènement du cinéma sonore, il a fallu réserver de l'espace pour une piste sonore (magnétique ou optique), et le film à une seule rangée de perforations est devenu la norme. La taille de la fenêtre de prise de vues et celle de l'image projetée diffèrent légèrement, comme toujours. Le rapport d'image standard est de 1,375:1 selon les standards académiques. La taille de l'image capturée lors de la prise de vues est de 10,22 × 7,42 mm. La cadence de projection standard est de 24 images par seconde.
Quant au Super 16, il s'agit d'une invention de Rune Ericson en 1969. Avant l'avènement généralisé des caméras numériques, le format Super 16 était largement utilisé. Il offre un rapport d'image de 1,66:1, ce qui convient parfaitement au transfert sur pellicule 35 mm et à la diffusion vidéo au format 16:9 (1,78:1). Lors de la prise de vues, la fenêtre de cadrage du film peut être choisie en 1,66:1, 1,85:1 ou même 2,40:1. L'image imprimée a une dimension de 12,39 × 7,49 mm. L'image réellement exploitée dépend du ratio de cadrage :
- Ratio 1,66:1 : image de 12,39 × 7,49 mm ;
- Ratio 1,85:1 : image de 12,39 × 6,69 mm ;
- Ratio 2,40:1 : image de 12,39 × 5,16 mm.
Le format 16 mm a marqué l'histoire du cinéma et continue de fasciner les passionnés, offrant une alternative unique aux formats numériques plus récents.
Le format 35 mm, le roi incontesté de la pellicule argentique utilisée dans le cinéma. Considéré comme le "format standard", il mesure 35 mm de large et est doté de perforations rectangulaires sur ses bords pour garantir un entraînement précis. À l'origine développé pour le cinéma, ce format de pellicule a ensuite été adopté par la photographie argentique, où il est connu sous le nom de "petit format".
En France, le dépôt légal des films se fait en argentique, car cette méthode est réputée plus durable et résistante que les supports numériques, ce qui en fait une option privilégiée pour l'archivage et la conservation des films.
Le format 35 mm présente des perforations de chaque côté et plusieurs perforations par image, ce qui permet d'obtenir une stabilité d'image optimale.
Les films en 35 mm sont envoyés par les distributeurs aux différents cinémas de leur réseau. Ils sont expédiés en bobines de 600 mètres (soit environ 20 minutes) qui sont ensuite assemblées et placées sur de grandes bobines pouvant contenir jusqu'à 4 kilomètres de pellicule. En termes de poids, ces films peuvent dépasser les 25 kilogrammes.
Il est important de souligner que les films sont prêtés aux cinémas pour une durée ou un nombre de projections déterminés. Une fois cette période écoulée, les films doivent normalement être renvoyés au distributeur. Donc, si vous vous retrouvez en possession d'un film en 35 mm, sachez qu'il a été détourné de son cycle de vie. Il a peut-être été récupéré par un membre du cinéma qui ne l'a pas renvoyé au distributeur, ou par un employé de la société de distribution qui l'a conservé au lieu de le détruire, ce qui était pourtant l'issue habituelle pour les films en 35 mm.
Passons maintenant au format 70 mm, souvent utilisé comme alternative au cinémascope.
Le format 70 mm, tout comme le 35 mm, possède des perforations des deux côtés et plusieurs perforations par image. Cependant, le 70 mm présente 5 perforations par image, tandis que le 35 mm en compte 4.
Le format 70 mm est une pellicule argentique mesurant 70 mm de largeur en projection et 65 mm en prise de vue. Après quelques essais avortés dans les années 1930, il s'est popularisé au cinéma à partir des années 1950. Il s'agit du format offrant la meilleure qualité d'image. Cependant, il est aussi très coûteux et se retrouve principalement entre les mains des professionnels. Seule une poignée de collectionneurs sont équipés pour visionner ce type de film.
Voilà donc différents formats de films photographiques. Et s'il y a une chose que vous devez absolument retenir, c'est que le numérique ne parvient pas encore à offrir une définition d'image comparable au film photographique standard (35 mm), sans parler du format 70 mm.
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